In my room (Ulrich Köhler, 2018)
Pour ouvrir un autre monde, à venir, il ne faut pas reproduire ce monde-ci.
Pour ouvrir un autre monde, à venir, il ne faut pas reproduire ce monde-ci.
Dans un monde sans salut possible, sans rédemption, sans promesse, sans avenir, il n’y a pas d’extériorité, on ne peut que revenir dans sa cage.
En espérant que d’une pure intériorité, dans les limbes réticulaires de l’apocalypse, quelque chose pourra surgir.
Il faut, pour sauver les livres, sacrifier et sa mort et sa vie, mourir pour que vive l’à-venir des livres
Au bout du compte, le dernier mot appartient au cinéma, car malgré tout, il porte encore la promesse.