« Shoah » (Claude Lanzmann, 1985), d’après « Je n’avais que le néant, Shoah par Lanzmann » (Guillaume Ribot, 2025)
Il ne s’agit ni de raconter la Shoah, ni d’en exhiber les archives, mais d’en témoigner, d’y mourir vivant
Il ne s’agit ni de raconter la Shoah, ni d’en exhiber les archives, mais d’en témoigner, d’y mourir vivant
Pour quiconque, il peut arriver qu’une décision souveraine, inconditionnelle, invite à la mutation, la transformation, l’hybridation.
Mourir une deuxième fois, vivante, pour une autre alliance, plus porteuse d’avenir.
Perdre un monde suppose de renoncer aussi à une part de soi , un quasi-suicide qui conditionne la possibilité de continuer à vivre.