After Hours (Martin Scorsese, 1985)
Une nuit de chaos qui, en définitive, ne change rien – car jamais le héros ne se détache de la faute
Une nuit de chaos qui, en définitive, ne change rien – car jamais le héros ne se détache de la faute
Ce qui fait la beauté irremplaçable du film et aussi sa faille, c’est que rien ne transpire du secret.