L’Inconnu de la Grande Arche (Stéphane Demoustier, 2025)
Rêvée comme un art, l’architecture se mue en tombeau de l’architecte
Rêvée comme un art, l’architecture se mue en tombeau de l’architecte
Il faut, pour aller vers sa propre destination, la violence de l’autre
D’une voix perdue, absente, on ne peut faire émerger qu’une archi-présence pour toujours enclose, inaccessible, encryptée
Pour accéder aux souvenirs, il faut pousser toujours plus loin le mouvement de la mimesis, multiplier les dédoublements.
Perpétuer le deuil comme tel, en jouir, c’est le nier : en s’appropriant les morts, on exerce sur eux pouvoir et souveraineté.