Orwell, 2+2=5 (Raoul Peck, 2025)
La police de la pensée décrite par Orwell n’est plus nécessaire, car désormais la société s’en charge avec une efficacité inouïe, tant globalement qu’au niveau le plus singulier
La police de la pensée décrite par Orwell n’est plus nécessaire, car désormais la société s’en charge avec une efficacité inouïe, tant globalement qu’au niveau le plus singulier
Le mal surgit quand la chaîne des promesses, des dettes, des reconnaissances et des représailles s’altère, se dérègle, se disloque
Pour s’imposer absolument, le souverain ne doit pas seulement commander aux vivants, à la société, il faut aussi qu’il commande absolument à la pensée
Mal radical : un pouvoir qui oblige à décliner son identité, jusqu’à la perte totale du nom.