Le Voyage de Morvern Callar (Lynne Ramsay, 2002)
Une appropriation posthume au service d’un énigmatique désir féminin
Une appropriation posthume au service d’un énigmatique désir féminin
Un événement évanescent, indéterminé, sans témoin crédible ni trace, on peut l’évoquer, en faire un film, un pur film, en multiplier les interprétations
Il n’y a dans le monde que des marionnettes identiques à la voix identique, sauf dans un moment d’exception, unique, déstabilisant, irrépétable.
Un Christ déjà mort, sacrifié avant même sa naissance, anéantit l’avenir.