Hospitalité (Kôji Fukada, 2010)
Une expérience d’hospitalité, même forcée, ça peut conforter le chez soi, faire du bien.
Une expérience d’hospitalité, même forcée, ça peut conforter le chez soi, faire du bien.
Du seul moment qui compte, la naissance, on ne peut rien dire ni rien se remémorer.
On ne peut défendre un « chez soi » contre la puissance phallique qu’en participant de cette puissance.
Pour faire la charité, il faudrait déjà être chez soi, et pour offrir l’hospitalité, il faudrait déjà accepter la loi de l’autre.