L’Arbre mort (Joseph Morder, 1987)
Pour faire un couple comme pour faire un film, il faut multiplier les deuils, porter les endeuillés.
Pour faire un couple comme pour faire un film, il faut multiplier les deuils, porter les endeuillés.
Les pères s’effacent, plus rien ne soutient les fils, il n’y a plus ni sujets, ni amis, ni amants.
Une séduction verbale, oblique, indirecte, instaure une liaison foisonnante mais trompeuse, décevante, déprimante.