« Tout va bien » (Jean-Luc Godard, 1972)
Il n’y a pas de cinéma sans argent, mais il ne peut y avoir de cinéma que s’il l’excède.
Il n’y a pas de cinéma sans argent, mais il ne peut y avoir de cinéma que s’il l’excède.
Entre calculabilité universelle et incalculabilité du travail, le balancier de l’horloge oscille