Ajami (Scandar Copti et Yaron Shani, 2010)
La collision de mondes clos n’ouvre ni avenir, ni survie.
La collision de mondes clos n’ouvre ni avenir, ni survie.
Par sa perte absolue d’identité, la situation du prisonnier de guerre radicalise celle du soldat.
Puisque le monde ne répond plus, je ne peux l’interroger qu’en parfait étranger, dans la plus pure inconditionnalité, par le langage du cinéma.
Il suffit d’une goutte de sperme pour que s’efface la fiction d’une appartenance pure, indéniable.