Muriel, le temps d’un retour (Alain Resnais, 1963)
Nul n’est épargné par l’impardonnable; il engendre une dette infinie, irréparable, que rien ne peut atténuer
Nul n’est épargné par l’impardonnable; il engendre une dette infinie, irréparable, que rien ne peut atténuer
Pour se sauver, il faut affronter l’impardonnable.