Jay Kelly (Noah Baumbach, 2025)
Une parodie de déprise parodiant la perte de vie sociale qui arriverait si cette déprise n’était pas une parodie
Une parodie de déprise parodiant la perte de vie sociale qui arriverait si cette déprise n’était pas une parodie
Il ne suffit pas de se révolter au nom de la justice, il faut se déprendre, changer de paradigme
Rencontrer la mort sur le chemin détourné d’une danse, une fête, une jouissance tragique
Cinéma de l’extrême dépouillement : deuil de l’illusion, de la duplicité, du populisme, du Joker, du pharmakon et du blockbuster lui-même
Il faut, pour sauver le cycle répétitif de la vie, abolir tout événement qui viendrait le perturber, au risque de déclencher un événement plus grave encore, plus destructeur encore
Dans l’obscurité de la nuit, un autre amour peut surgir, imprévu, inespéré, inexprimé, d’une intensité inouïe, et disparaître aussitôt
D’autres regards vivants, angoissés, désespérés, inouïs, inaccessibles, intraduisibles, émergent des marges de la ville.
Enfermement et décrépitude sont indissociables; avec la clôture des frontières, toujours plus impérieuse, la déchéance ne peut que faire retour.
Enfermé dans un lieu clos, hors-monde, inhabitable, il le transforme en déchetterie où il s’auto-détruit.