My Joy (Sergueï Loznitsa, 2010)
Mal radical : un pouvoir qui oblige à décliner son identité, jusqu’à la perte totale du nom.
Mal radical : un pouvoir qui oblige à décliner son identité, jusqu’à la perte totale du nom.
Dans une vacuité absolue, il cherche en elle un secret inavouable – mais il n’y en a pas.
S’ensommeiller, se retirer du monde, renoncer à l’archive, affirmer son unicité pour finalement, enfin, mourir vivant.
Un pouvoir/impouvoir transactionnel, dérisoire, exposé à la dangerosité imprévisible de pouvoirs souverains.