Jauja (Lisandro Alonso, 2014)
Une errance à la poursuite de sa descendance jusqu’à la perte totale d’identité, le néant
Une errance à la poursuite de sa descendance jusqu’à la perte totale d’identité, le néant
Rêvée comme un art, l’architecture se mue en tombeau de l’architecte
D’autres regards vivants, angoissés, désespérés, inouïs, inaccessibles, intraduisibles, émergent des marges de la ville.
« Pour te venger, effacer tes dettes, il faut que tu t’en souviennes, même si, dans la pure présence, tu ne peux te souvenir que de rien ».
Il n’y a pas de limite au parasitage, pas de ligne protectrice qui ne puisse être franchie.
Là où ça décide, dans l’avenir, bénédiction et malédiction se confondent.