Barbara (Mathieu Amalric, 2017)
Une hétérobiographie où, autour du secret préservé de l’autre, prolifèrent les autobiographies.
Une hétérobiographie où, autour du secret préservé de l’autre, prolifèrent les autobiographies.
Tout commence par un appel, « Je suis morte » : pour que le visage qui précède introduise à celui qui, déjà passé, reste à venir.
La paralyse – ce temps de fermentation ou de bouillonnement qui est aussi la khôra du réalisateur.
Un regard dans le film en appelle au-delà du film à un autre regard qui témoigne d’une alliance oto-biographique.