Une bataille après l’autre (Paul Thomas Anderson, 2025)
Il faut préférer l’hybridation à la confrontation violente des appartenances et des opinions
Il faut préférer l’hybridation à la confrontation violente des appartenances et des opinions
Enfermement et décrépitude sont indissociables; avec la clôture des frontières, toujours plus impérieuse, la déchéance ne peut que faire retour.
Un jour vide, désespéré, point d’aboutissement d’un monde et d’un cinéma sans contenu ni transmission.
L’utopiste, qui veut tout prévoir, n’attend plus rien de l’avenir.