L’étreinte du serpent (Ciro Guerra, 2015)
Les traces des civilisations disparues appellent un deuil inarrêtable, une hantise infinie, qu’aucun savoir ne peut effacer.
Les traces des civilisations disparues appellent un deuil inarrêtable, une hantise infinie, qu’aucun savoir ne peut effacer.
À distance de la vie courante, quotidienne, nous attend un événement archaïque, dangereux, catastrophique et pire encore : vide, sans signification ni contenu, une Bête effrayante
« Il faut œuvrer », à condition que l’orientation choisie reste suspendue à l’indécision ».
L’économie du salut, par l’initiative, la compétence et le savoir, venus de l’étranger.
Les nazis sont arrivés au pouvoir car le vieux monde s’était déjà effondré.