Asako I et II (Ryūsuke Hamaguchi, 2018)
Quand l’amour se décide, la trace se retire, elle s’efface – il faut plonger dans l’incertitude.
Quand l’amour se décide, la trace se retire, elle s’efface – il faut plonger dans l’incertitude.
« Il faut œuvrer », à condition que l’orientation choisie reste suspendue à l’indécision ».
Au-delà de tout calcul, une promesse d’amitié peut enjamber deux siècles.
Dire oui à l’amitié jusqu’à bâtir l’oiseau de bois, au confluent de la combe magique.
Un désir unique, singulier, déclenché par la rencontre improbable, indécise, de deux solitudes.
Faire payer à l’autre l’écart entre survie et sur-vie.
Un film où l’acquiescement à l’autre déclenche le mouvement gratuit, imprévisible, de l' »aimance ».