Ghost Tropic (Bas Devos, 2020)
Là où j’ai vécu, je ne suis plus chez moi, un cycle de vie s’épuise, du nouveau arrive de l’extérieur et s’impose à moi
Là où j’ai vécu, je ne suis plus chez moi, un cycle de vie s’épuise, du nouveau arrive de l’extérieur et s’impose à moi
La collision de mondes clos n’ouvre ni avenir, ni survie.
Le souverain de banlieue, ce jeune (lionceau) incontrôlable, introduit l’imprévisible, l’incalculable, dans le lieu clos de la cité.
Il faut garder l’avenir ouvert, sans préjuger de ses conséquences ni s’enfermer dans une définition préalable du bien et du mal.
« Il faut que je te porte », pour que tu m’ouvres les yeux.
Mourir une deuxième fois, vivante, pour une autre alliance, plus porteuse d’avenir.
Vivre sous la contrainte d’un devoir d’amour, un archi-amour indéterminé, insaisissable.