Dracula (Radu Jude, 2025)
Un film déréglé, qui renvoie péniblement au pire dérèglement, celui du monde
Un film déréglé, qui renvoie péniblement au pire dérèglement, celui du monde
Il faut, pour sauver le cycle répétitif de la vie, abolir tout événement qui viendrait le perturber, au risque de déclencher un événement plus grave encore, plus destructeur encore
Où la lesbienne enfle, enfle, et d’érection en érection, se dresse comme un phallus, éjacule fantasmatiquement et s’endort
Il aura fallu, pour que le fils prenne la place de l’antéchrist, carboniser le père, décapiter les femmes, réduire le logos en cendres.
Pour devenir soi, unique entre tous, laisser venir l’hybride dans son corps.
On ne peut défendre un « chez soi » contre la puissance phallique qu’en participant de cette puissance.