Un chien andalou (Luis Buñuel, 1928)
Amalgamer les ingrédients les plus usuels du cinéma pour forclore toute interprétation rationnelle.
Amalgamer les ingrédients les plus usuels du cinéma pour forclore toute interprétation rationnelle.
il y a dans ce film quelque chose de nazi : l’entrée en scène d’un monde absolument dépourvu d’avenir
« Je suis mort », souverainement mort, bien que vous puissiez encore voir mon corps, entendre ma parole et ma voix.
Il aura fallu, pour que le fils prenne la place de l’antéchrist, carboniser le père, décapiter les femmes, réduire le logos en cendres.