La trilogie du cycle vital de Lisandro Alonso : La Libertad, Los Muertos, Fantasma (2001-2006)
Réduite à la nudité du cycle vital, l’expérience cinématographique ne débouche sur aucun monde
Réduite à la nudité du cycle vital, l’expérience cinématographique ne débouche sur aucun monde
L’effondrement d’un monde, réduit à sa pure représentation photographico-cinématographique, sans analyse, ni contexte, ni récit, ni signification
Une tragédie hétéro-thanato-graphique : « Tu es en deuil de toi-même, il faut que je te porte ».
L’ange vivant de la mort appelle le photographe, il lui donne accès à un monde sans deuil, ni devoir, ni dette.
Pour accéder aux souvenirs, il faut pousser toujours plus loin le mouvement de la mimesis, multiplier les dédoublements.