Thelma et Louise (Ridley Scott, 1991)
Irréparable, impardonnable, le viol fait trou dans le monde, il ruine la vie et autorise toutes les transgressions.
Irréparable, impardonnable, le viol fait trou dans le monde, il ruine la vie et autorise toutes les transgressions.
La position unique d’une jeune fille qui s’évade de tous les conflits, erre entre les pouvoirs sans jamais se laisser instrumentaliser par aucun d’entre eux.
Il faut, pour un deuil, partager la mémoire, la parole, le corps et les secrets du mort.
Tout commence par un appel, « Je suis morte » : pour que le visage qui précède introduise à celui qui, déjà passé, reste à venir.
Une figure de défilement routier fait le lien entre les éléments d’un récit dont la diffraction est irréductible.
Dire oui à l’amitié jusqu’à bâtir l’oiseau de bois, au confluent de la combe magique.