La Chute (Oliver Hirschbiegel, 2004)
Avec le nazisme, il n’y a plus ni père ni fils, ni mère ni enfants, mais une seule chair qui ne peut que vivre et disparaître en même temps.
Avec le nazisme, il n’y a plus ni père ni fils, ni mère ni enfants, mais une seule chair qui ne peut que vivre et disparaître en même temps.
Pour résister aux pulsions de mort, de cruauté, il faut la pure gratuité de l’ornement féminin.
Pour se sauver, il faut affronter l’impardonnable.
Les nazis sont arrivés au pouvoir car le vieux monde s’était déjà effondré.
Le spectre de Pinochet, qui incarne l’éternel retour du mal, continue à nous vampiriser.