Le Bleu du caftan (Maryam Touzani, 2022)
Nettoyer, dans un pur linceul, la crainte et la culpabilité.
Nettoyer, dans un pur linceul, la crainte et la culpabilité.
En portant l’enfant mort, le voyant fait le deuil de ce que lui-même a été.
Le regard d’une petite fille sur une hospitalité qui oblige, dans un monde où le nouveau-né doit être abandonné.
Pour faire la charité, il faudrait déjà être chez soi, et pour offrir l’hospitalité, il faudrait déjà accepter la loi de l’autre.