Myth of Man (Jamin Winans, 2025)
Dans un monde sans parole, sans écoute, sans compassion, il n’y a plus aucun vivant pour porter un enfant
Dans un monde sans parole, sans écoute, sans compassion, il n’y a plus aucun vivant pour porter un enfant
Rien ne peut empêcher que le rêve de vengeance, de possession, d’emprise mentale sur autrui, déborde de son intention initiale
Dans un monde déréglé, sans lien social ni valeurs, on ne peut s’appuyer que sur une famille étroite, et des corps quasi morts
Tu répondras à l’autre, dans l’irresponsabilité la plus absolue.
Est star celui qui peut mourir sans mourir, faire du cinéma sans faire du cinéma, signer un film en le déconstruisant.
Tenter de réunir des fraternités irréconciliables sans les contester de l’intérieur conduit à la paralysie, la tragédie, l’autodestruction.
Déliée de toute dette, elle reste paralysée au bord de l’inconditionnel.
La paralyse – ce temps de fermentation ou de bouillonnement qui est aussi la khôra du réalisateur.