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Déconstruction (plan)
Il n’y a pas « la » déconstruction, il y a des déconstructions qui se disséminent, se contaminent
Déconstruction (adresse au lecteur)
Il est des films qui se déconstruisent eux-mêmes
Du supplémentaire, il y en a toujours plus, encore plus, c’est inarrêtable
Par mise en abyme, on renvoie la fiction à la fiction, on déréalise le référent
Brouillage – Un cinéma qui fait vaciller les limites
Phallogocentrisme : conjonction du logos et du phallique
Pour qu’il y ait œuvre, il faut que la différance soit impossible à arrêter
On ne sait jamais à l’avance en quoi consistent les extériorités, tout ce qu’on sait, c’est qu’elles arrivent, il est impossible de les en empêcher
Il faut, pour survivre, prendre appui sur l’ambiguité du pharmakon
En endurant les risques et périls d’une hybridation inéluctable, fatale
Il y a dans tout film la trace d’un témoignage
Il faut, pour répondre au monde, un certain degré de retrait
On ne peut pas se passer de cadres, de délimitations, mais on peut jouir de leurs diffractions, excroissances et disséminations parergonales