Le Silence (Ingmar Bergman, 1963)
Ce qui reste silencieux ne peut s’écrire que dans une langue étrangère, intraduisible.
Ce qui reste silencieux ne peut s’écrire que dans une langue étrangère, intraduisible.
Accueillir l’étranger, c’est ce qui peut déclencher la haine la plus insensée, le rejet le plus délirant.
Du seul moment qui compte, la naissance, on ne peut rien dire ni rien se remémorer.