Une belle fin (Uberto Pasolini, 2013)
Même en l’absence de deuil, je porte en moi le monde de l’autre : « C’est l’éthique même ».
Même en l’absence de deuil, je porte en moi le monde de l’autre : « C’est l’éthique même ».
Trouver le coupable, c’est impossible, mais ne pas trouver de coupable, c’est intenable, insupportable.
Il faut, pour vivre, faire son deuil de l’amour d’avant l’amour, l’archi-amour.