Breaking the Waves (Lars von Trier, 1996)
Un amour inconditionnel, sous emprise, par le simple pouvoir de la voix, fait des miracles
Un amour inconditionnel, sous emprise, par le simple pouvoir de la voix, fait des miracles
Dans un monde déréglé, sans lien social ni valeurs, on ne peut s’appuyer que sur une famille étroite, et des corps quasi morts
Un film ni pire ni plus pénible à voir que ce qu’il représente : le retour du chaos, sans autre perspective que le chaos lui-même
Le « mourir » de Valdemar, suspendu pendant sept mois, est encadré par deux énonciations impossibles : « Je suis mort »