L’amant double (François Ozon, 2017)
Je suis double mais l’autre en moi, mon jumeau, est déjà mort » – un dédoublement qui ne franchit pas la limite du « deux.
Je suis double mais l’autre en moi, mon jumeau, est déjà mort » – un dédoublement qui ne franchit pas la limite du « deux.
En se projetant sur d’autres surfaces, la trace d’un film parasite notre perception.
Un monde clos dont les bords ne s’étendent qu’au prix d’une étrange et incontrôlable transformation.
Il n’y a pas de limite au parasitage, pas de ligne protectrice qui ne puisse être franchie.