Je tu il elle (Chantal Akerman, 1974)
J’aurai tout essayé, je me serai mise à nu, mais cela n’aura pas calmé ma faim, et me voici seule, au début
J’aurai tout essayé, je me serai mise à nu, mais cela n’aura pas calmé ma faim, et me voici seule, au début
Seul un autre peut dire, à la place du « je » souverain : « Moi, je suis mort ».
À travers ses manifestes, l’art en personne déclare : « Sauf l’art, rien ne peut être sauvé »
Un fil caché aussi ambigu qu’un pharmakon, qu’un hymen.
En répétant deux fois son nom dans le titre « JLG/JLG », Jean-Luc Godard redouble et redouble et dissémine l’écho de sa propre voix.