Chronology of Water (Kristen Stewart, 2025)
Un film ultra-féminin qui décrit l’immersion corporelle, émotionnelle et sexuelle dans le phallo-pouvoir, son écriture et la voie d’un certain apaisement
Un film ultra-féminin qui décrit l’immersion corporelle, émotionnelle et sexuelle dans le phallo-pouvoir, son écriture et la voie d’un certain apaisement
Une nuit de chaos qui, en définitive, ne change rien – car jamais le héros ne se détache de la faute
Démocratie aporétique : un peuple absent, des décideurs qui ne décident de rien, l’effacement du politique
Entre la violente affirmation d’une souveraineté démesurée et la renonciation passive à toute décision, il y a complicité, voire équivalence, dont on ne peut s’extraire que par l’exigence d’un recul, d’un retrait
Pour remédier à des violences insupportables, des blessures irréparables, il faut un amour sauvage, hors norme, inconditionnel et illimité
Un amour archaïque, irréductible, envers une exigence irrécusable, incontestable, précède et conditionne l’amour courant, socialisable et partageable
Il aura fallu, pour entendre le secret dont l’autre témoigne, en passer par un « Je suis mort »