Le goût du ciment (Ziad Kalthoum, 2017)
Du vacarme de la guerre, on ne peut rien dire : elle ne répond pas.
Du vacarme de la guerre, on ne peut rien dire : elle ne répond pas.
Quand disparaît la prophétie, l’espoir d’un monde à venir, alors disparaissent avec elle l’accueil de l’autre, l’hospitalité, la fraternité.
Pour faire un couple comme pour faire un film, il faut multiplier les deuils, porter les endeuillés.
Il aura fallu dire « Je suis mort » pour que commence la vie en plus, la vie supplémentée par l’œuvre, plus que la vie.