Camille Claudel 1915 (Bruno Dumont, 2012)
Ce qui fait la beauté irremplaçable du film et aussi sa faille, c’est que rien ne transpire du secret.
Ce qui fait la beauté irremplaçable du film et aussi sa faille, c’est que rien ne transpire du secret.
On ne peut ni s’approprier une signature, ni usurper un nom innocemment.
Entre l’œuvre, la vie, la mort, il faut que la frontière reste indécise, indéterminée, infranchissable.
La paralyse – ce temps de fermentation ou de bouillonnement qui est aussi la khôra du réalisateur.