Vive l’Amour (Tsai Ming-liang, 1994)
Sans habitat, sans passé, sans futur, sans monde, il ne reste que les pleurs
Sans habitat, sans passé, sans futur, sans monde, il ne reste que les pleurs
Pour échapper au jugement, il ne suffit pas que l’autre prenne sur lui tout le poids de la faute.
Une force excessive, inquiétante, souveraine, s’impose sans considération ni pour la vie, ni pour la mort, ni pour la crédibilité du récit.
Ce qui reste silencieux ne peut s’écrire que dans une langue étrangère, intraduisible.