La fille de 15 ans (Jacques Doillon, 1989)
Un réalisateur qui présente une jeune fille comme perverse, calculatrice, manipulatrice, pour mieux la manipuler, l’objectiver, s’en servir.
Un réalisateur qui présente une jeune fille comme perverse, calculatrice, manipulatrice, pour mieux la manipuler, l’objectiver, s’en servir.
Un film ambivalent qui embellit l’ambivalence d’une jeune fille envers ce qu’elle a à subir.
Le jugement final, c’est que nul ne peut témoigner de la vérité.
Un fil caché aussi ambigu qu’un pharmakon, qu’un hymen.