Brazil (Terry Gilliam, 1985)
Il faut, pour que triomphe le pouvoir absolu, réduire les fantasmes à néant, car ils se présentent comme les plus dangereuses des pensées
Il faut, pour que triomphe le pouvoir absolu, réduire les fantasmes à néant, car ils se présentent comme les plus dangereuses des pensées
Pour s’imposer absolument, le souverain ne doit pas seulement commander aux vivants, à la société, il faut aussi qu’il commande absolument à la pensée
Il n’y a pas de limite au parasitage, pas de ligne protectrice qui ne puisse être franchie.
Le sexe, un pharmakon qui, prétendant compenser ou remédier à la vacuité, creuse un vide encore plus profond.
Il faut, pour donner au film un poids de pensée, de réel, mettre en scène la non-réponse de l’autre.