Parasite (Bong Joon-Ho, 2019)
Il n’y a pas de limite au parasitage, pas de ligne protectrice qui ne puisse être franchie.
Il n’y a pas de limite au parasitage, pas de ligne protectrice qui ne puisse être franchie.
Le sexe, un pharmakon qui, prétendant compenser ou remédier à la vacuité, creuse un vide encore plus profond.
Il faut, pour donner au film un poids de pensée, de réel, mettre en scène la non-réponse de l’autre.