Catherine de Heilbronn (Eric Rohmer, 1980)
Une emprise sans cause, sans violence, sans initiative du dominant, est-ce possible ?
Une emprise sans cause, sans violence, sans initiative du dominant, est-ce possible ?
Nul n’est épargné par l’impardonnable; il engendre une dette infinie, irréparable, que rien ne peut atténuer
L’ange vivant de la mort appelle le photographe, il lui donne accès à un monde sans deuil, ni devoir, ni dette.
Se faire orpheline, exposée au danger, pour que s’invente une autre alliance.
En disparaissant, elles suspendent le monde dans lequel le film s’inscrit – sans laisser aucun indice sur l’autre monde.
Déliée de toute dette, elle reste paralysée au bord de l’inconditionnel.